Depuis que le financement participatif est devenu très célèbre sur le marché immobilier, les banques ont changé de règlement. Voici les nouvelles directives à prendre en compte suite à l’évolution de la situation sociale de chacun.
Qu’est-ce qui change sur le règlement de prêt immobilier ?
Si l’âge moyen est de 33 ans, il y a maintenant de nombreux jeunes de 21 ans qui se lancent dans l’achat de leur premier bien immobilier. Leur but est d’achever le remboursement 10 ans après, donc à 31 ans, et de vendre ce premier acquis au double de sa valeur pour acheter un immeuble un peu plus grand. Et c’est à son second achat qu’il deviendra propriétaire, et là, s’il est malin, il aura sa résidence et une autre résidence secondaire avec la somme acquittée par la vente. C’est une démarche de prêt bancaire, mais si le jeune choisit le financement participatif avec ce premier achat, il n’aura pas à rembourser un bon pourcentage de son investissement puisque les fonds accumulés sur la plateforme du crowdfunding sont sous forme de don.
Le calcul du montant octroyé a aussi changé
Parce que sur le marché du crowdfunding, les gens peuvent mettre un montant libre sur son projet de demande de financement d’achat immobilier, juste en payant 30 euros pour valider son annonce. Ils ont la possibilité d’obtenir la totalité de cette somme. À cet effet, les offres de crédit immobilières de la banque n'intéressent plus les jeunes. Les banques ont donc décidé de diminuer à 10 % au lieu de 20 % l’apport personnel demandé au demandeur. Ces 10 % de fonds personnels, la banque pense que le jeune peut les réunir en demandant la solidarité de sa famille. Il est totalement possible de faire ce prêt bancaire sans les 10 % d’apport, donc les banques ne mettent plus cette condition en priorité.
Ce que les banques recherchent dans une affaire d’achat immobilier est une garantie que le demandeur puisse rembourser son prêt à temps sans montrer une situation de souffrance au quotidien.